Wednesday, 24 March 2021

International Day of Solidarity with Detained and Missing Staff Members 2021; March 25

 


On the International Day of Solidarity with Detained and Missing Staff Members, we recognize the extreme dangers encountered by so many colleagues as they carry out the vital work of the United Nations.

The threats vary -- from deliberate and deadly ambushes to kidnappings, intimidation and unlawful detention.  But the thread is the same: these are unacceptable obstacles to fulfilling our mandates and advancing peace, sustainable development, human rights and humanitarian assistance around the globe.  National staff are often at particular risk.

As of 15 March of this year, 20 United Nations personnel are in detention, including six arrested this year, five in 2020 and the rest before that.

Meanwhile, peacekeeping operations continue to be targeted; at least 10 of our personnel have lost their lives this year to malicious attacks.

I urge all countries to support the 1994 Convention on the Safety of United Nations and Associated Personnel as well as its 2005 Optional Protocol.  To date, only 95 countries are party to the Convention, and only 33 to the Protocol.

The United Nations will continue its efforts to protect our personnel, and to pursue justice for the perpetrators of attacks.  I thank the Standing Committee on the Security and Independence of the International Civil Service of the United Nations Staff Union for its advocacy and vigilance.

Together, we must do everything we can to ensure that those who undertake lifesaving work around the world have the protection and conditions they need to fulfil their vital mission.

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À l’occasion de la Journée internationale de solidarité avec les membres du personnel détenus ou portés disparus, nous mesurons les dangers extrêmes auxquels tant de nos collègues sont exposés dans le travail essentiel qu’ils accomplissent au nom de l’Organisation.

Les menaces sont diverses – embuscades mortelles, enlèvements, actes d’intimidation et détention illégale – mais toutes font obstacle de manière inacceptable à l’accomplissement de nos mandats et à la promotion de la paix, du développement durable, des droits humains et de l’aide humanitaire dans le monde entier. Le personnel recruté sur le plan national est souvent le plus exposé.

Au 15 mars de cette année, 20 membres du personnel des Nations Unies sont en détention, dont 6 arrêtés cette année, 5 en 2020 et le reste avant cela.

Parallèlement, les opérations de maintien de la paix continuent d’être prises pour cibles ; au moins 10 membres du personnel ont perdu la vie cette année dans des attaques malveillantes.

J’engage tous les pays à soutenir la Convention sur la sécurité du personnel des Nations Unies et du personnel associé de 1994 et son Protocole facultatif de 2005. À ce jour, seuls 95 pays sont parties à la Convention et 33 pays au Protocole.

L’ONU poursuivra ses efforts pour protéger les membres de son personnel et faire en sorte que les auteurs d’attaques soient traduits en justice. Je remercie le Comité permanent sur la sécurité et l’indépendance de la fonction publique internationale du Syndicat du personnel de l’Organisation des Nations Unies de ses activités de sensibilisation et de sa vigilance.

Ensemble, nous devons tout faire pour garantir que les personnes qui accomplissent des activités vitales dans le monde entier bénéficient de la protection dont elles ont besoin pour remplir leur mission essentielle dans des conditions appropriées.





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